ùgarth

Poeme de Jal...

Tu vas à une visu, tranquillement
Puis tout s'arrete en un instant
Tes yeux se sont posés sur elle,
Tu ne peux y croire, si belle!

Tu croises son regard malicieux
Et tu ne peux que baisser les yeux
Tu fais naitre sur ses lèvres un sourire
Et c'est tout ton etre qui chavire.

Tu écoutes et reste surpris
Tant de justesse dans ce qu'elle dit!
Et puis tu te dois de rentrer
Et tu repenses à cet après midi d'été.

Ce n'est pas une femme,
ce n'est pas un ange
C'est Ashayo,
et je l'aime comme ça



19/08/2005
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